dimanche 29 novembre 2009

Les plaisirs démodés


Contrairement aux apparences et parce que je ne suis pas à un paradoxe près, j'aime les choses simples. Les moments partagés en famille ou entre amis autour d'une bonne bouteille, un café improvisé, un mail, un coup de fil, une rencontre inopinée, quelques mots. Toutes ces petites choses qui nous nourrissent.

Les pince-fesses, les lieux ou soirées où il faut être, le m'as-tu-vu, je fuis, je fuis....

D'abord réticente, aujourd'hui je me réjouis de la soirée du 7 décembre prochain à Paris. Il y aura la remise des prix du Elle/Wikio. La majorité de mes lecteurs ne savent pas qu'il existe un classement et à quoi il sert (je suis entrée, à ma grande surprise dans ce classement en mai ou juin). Je les rassure, moi non plus je ne saisis pas grand chose. Je sais juste qu'il y a des blogs choisis, récompensés et que les pros, les dopés et les amateurs concourent dans la même catégorie. (coups de coeur Elle et Elle.fr donc plus uniquement des links ?)

Il paraît que la hype-attitude serait d'être "nominée" mais de refuser de s'y rendre. Je souris et je me dis que ce sera un sacré territoire d'étude sociale et comportementale. Qui va snober qui, qui est vraiment sympa, et elle est comment en vrai ... Vous voyez le genre !!!

J'avoue que, pour toutes ces raisons je suis mitigée mais c'est surtout l'occasion de retrouver une amie qui m'est chère, d'en prendre enfin une autre aimée dans mes bras et faut pas déconner, me rendre à la cité de l'architecture et du patrimoine, invitée par un magazine que je lis quasi religieusement depuis 20 ans.... Snob je sais bien, mais blasée, sûrement pas ! Je précise que c'est une première et qu'au retour mes impressions seront peut-être différentes.

Dans le fond, on sait vraiment que tout cela n'a que peu d'importance. Que le monde tournera sans ces histoires... On est vivants encore et, heureusement, terriblement humains.

Pour continuer dans le désuet, nous sommes le premier week-end de l'Avent (si je ne fais pas fuir mes lecteurs, moi avec des trucs pareils). Les senteurs de canelle, d'orange, des anges, de la déco kitchissime, des bougies, un tricot et votre mémère suisse est aux anges...

vendredi 27 novembre 2009

Gris comme un orage


Le nom des vernis... Je me demande toujours qui est derrière. Est-ce qu'ils font des brainstormings d'employés à l'imaginaire déluré, des séminaires tantriques, yogis, méditatifs. Ou simplement, quelqu'un, en solitaire a l'illumination. Ils ont fait évident chez Yves St-Laurent, Orage pour du gris-bleuté.

Ni glamour, ni sexy, attributs souvent désirés pour un accessoire typiquement féminin sensé séduire la gent masculine. Original, singulier, autre et un peu chic. Autant d'éléments rédhibitoires pour les hommes mais indispensables pour une femme qui veut d'abord se plaire.

Pour les yeux avisés, deux éléments du ciel sur cette photo. Le soleil et l'orage. Si ça ne fait pas des étincelles....

Robe soleil H&M _ Vernis n° 39 Yves St-Laurent - Lien Dinh Van - Colliers d'un marché italien

jeudi 26 novembre 2009

Like Sandro


Non, je ne suis pas une vendue, je suis pire ! Je ne renie pas ce que je disais ici sur la marinière Sandro. La vraie est nettement plus belle mais elle écorcherait et mon porte-monnaie et un défi-shopping encore en cours, même si ma petite belge l'a enterré...

D'autant que sitôt la frontière suisse franchie 1/5 voire 1/4 du prix en plus, vlan dans les dents ! Pas que Sandro. Maje, Kookaï, H&M et consorts, idem. On ne va pas parler salaires, loyers, accords bilatéraux et comprendre le pourquoi du comment de cette Suisse où la vie est plus chère. Non, je laisse M1 enquêter, il vous l'expliquera mieux que moi.


Y en a qui disent que c'est parce que la vie est plus belle. C'est vrai qu'elle est douce et que je l'aime mon pays (Faudel, dehors). Ce qui voudrait dire qu'on paie pour avoir une existence plus dorée ? Et on quantifie comment ?

Ce que je peux vous affirmer, c'est qu'ici il y en a qui regarde beaucoup dans le pré du voisin. Si l'herbe est jaunie par les soucis, ça les rassure. Si par malheur, elle est plus verte et qu'en plus des hortensias fleurissent, que les figues sont juteuses, ça leur défigure le visage de jalousie. C'est pas bien beau à voir et à entendre.


Ah ! c'est universel je crois et pas réservé à mon petit coin... Mais comme me l'ont appris mes parents "vaut mieux faire envie que pitié".

Heureusement novembre ne sera plus qu'un mauvais souvenir. Noël approche, on pourra faire semblant de s'aimer et d'être généreux des sentiments.

Edit - La statue m'a été offerte par une amie chère. C'est une oeuvre de Ruth Vetterli dont l'atelier est à Vevey

mardi 24 novembre 2009

American Vintage - ment vôtre !


On en avait parlé de Paris, American Vintage, shooting, vidéos...


Ben maintenant c'est à vous de jouer ! Il y a 50 tenues à gagner !

En cliquant ici vous pouvez emporter un ensemble American Vintage choisi par dix blogueurs. Lesquels sont, Azzed, Be Snob, Dandies, Deedee, Le monde est à nous, The Brunette, Trendy Mood, Vert Cerise, Violette et moi.



Ma tenue deux robettes, un pull qui m'a fait craquer par sa matière et son tombé, un leggings et une écharpe douce et légère pour la touche de couleur. C'est douillet, agréable, facile à mixer, c'est marseillais, c'est American Vintage, quoi !...



Et sinon, soyez indulgents avec moi. Première séance de photos à 38 ans !!! C'était sympa et intimidant. La séquence vidéo pire encore. Disons que je ne puis renier mes origines !!

C'est Noël un peu avant l'heure. Le concours démarre aujourd'hui et jusqu'au 9 décembre.

Je vous tiens les pouces !

Edit - Concentrée sur la nouvelle mise en page - spécial American Vintage - j'ai oublié de remercier en particulier Vanessa, la gérante de la boutique qui a été un ange de patience avec moi, Valère qui devait jongler entre nos demandes, Sophie pour sa confiance et toute l'équipe d'en3mots ! Purééééeee ça fait trop festival de Cannes !!!

dimanche 22 novembre 2009

A notre corps défendant



Que nous le voulions ou non, les vêtements parlent pour nous. Ils racontent souvent à notre insu notre humeur, notre appartenance à un groupe. On peut dénigrer ce genre d'affirmation. Dans l'absolu, je déteste l'idée de cases dans lesquelles on enferme les gens. L'adage "l'habit ne fait pas le moine" me semble résumer trop facilement voire faussement la réalité.

A moins de vivre au sein d'une peuplade naturiste au fond de la jungle, quotidiennement nous devons nous vêtir (purée, avec une phrase comme ça j'ai peur d'être en lice pour le Goncourt prochain!). Ceux qui se fichent éperdument de leur image ne sont pas légion.



Il y a des lieux adéquats pour l'étude de primates habillés que nous sommes. Personnellement je profite des terrasses et des trains pour observer, deviner qui se cache derrière une tenue. Quelques exemples. Les professions identifiables facilement : les architectes, les photographes, les designers, les banquiers, les coiffeurs, les esthéticiennes. Les parvenus, eux, sont souvent vuittonisés, dolce-gabanisés, juicy-couturisés, ils sont dans le clinquant, une reconnaissance mal placée dont ils ont besoin.. Les bobos, les faux-négligés, les sportifs, les différentes nationalités...

Je contredis immédiatement tout ce que je viens de dire. Parce qu'il y a ce qui ne s'achète pas, l'impalpable, le subjectif et qui me touche bien plus. Le style, l'allure, l'élégance, la distinction. C'est ce qui fait toute la différence. Nous ne sommes plus dans le concret, nous touchons l'indéfinissable. Une manière de bouger, de porter une écharpe, de s'approprier une tenue, de tenir un sac, le soin d'une barbe râpeuse, la nonchalance, la grâce d'un mouvement.

J'aime décrypter ces détails Je ne me lasse pas de voler, à la dérobée, ces petits riens à leurs propriétaires. Non pour juger ou pour catégoriser. Dubitative ou subjuguée, c'est selon. Fascinée, toujours.

Ce post m'est venu à la suite d'un de ceux de Walinette où elle posait une question apparemment innocente "quel est mon style?". La déferlante de commentaires agressifs ou amicaux démontrent que c'est un sujet plus épineux qu'il n'en a l'air.

S'il y a une chose que je ne vous demanderai jamais, c'est bien cette question anodine. Je préfère ne pas savoir. Continuer à me débrouiller tant bien que mal avec ce que je suis. Ne pas oublier d'où je viens. "Chassez le naturel..."

P.S. Dès mardi, Américan Vintage et 10 blogueurs vous permettront de gagner quelques tenues complètes. Rendez-vous ici le 24 !

jeudi 19 novembre 2009

A clous et à fleurs


Chaque année ça recommence. Novembre sonne ma petite mort. Je m'éteins de jour en jour. Dépression saisonnière on appelle ça.

Ras-le-bol de traîner mon humeur de bouledogue.

Mon remède qui ne surprendra pas grand monde : les vêtements.

Trois robes noires suédoises en une semaine, c'est grave... Du tissu estival

Des clous parce qu'ici on est pas au pays des Barbapapa, non plus....


p.s. un nouvel appareil photo. je galère. Si quelqu'un sait comment les agrandir sur blogspot ce serait cool de guider la looseuse de la geek....

Robe American Rétro - Sous robette American Vintage - Gilet Uniqlo - Ceinture Zara - Collier et collants H & M - Bague camélia - Santiags Minelli

mercredi 18 novembre 2009

Un Homme - Philip Roth


Ce cher, très cher Philip Roth, l'un de mes auteurs favoris avec, entre autres Cormac Mc Carthy (posté ici). "Un homme", un roman majeur dans son oeuvre monumentale, est un livre plein de grâce malgré les thèmes peu racoleurs que sont la mort et la maladie. Il ne faut pas s'arrêter à ses deux mots, car l'écrivain surdoué réussit à nous maintenir à distance de l'histoire. Aucun pathos, peu d'émotions, il se lit comme une histoire mais aura certainement un impact différent selon que l'on ait 20, 40 ou 60 ans.


La première scène, un enterrement dans un cimetière juif décrépi, des hommages. Le talent et l'écriture racée, à ce moment précis, nous emballent bien plus que le sujet. Partant de la mort de son personnage principal, personnage qui n'aura ni nom, ni prénom (dans sa version originale le titre est "Everyman"), Philip Roth retrace la vie ordinaire d'un publicitaire new-yorkais, retraité et surtout rattrapé par la maladie et les opérations du coeur. Par un va-et-vient, il raconte l'enfance heureuse dans une modeste bijouterie juive, l'amour fraternel pour son aîné devenu un riche financier. Ces détails insignifiants qu'il a vécu mais qui semblent aujourd'hui prendre toute leur ampleur alors que l'inéluctable pointe son nez. Ni moralisateur, ni donneur de leçon, l'auteur parcourt avec majesté la destinée de ce retraité malade du coeur. Des constats : trois divorces, deux fils qui le méprisent et sa dernière-née qui sera la seule présence aimante jusqu'à la fin. De sa vie dans un appartement en résidence pour personnes âgées aisées, il songe, téléphone à des collègues aujourd'hui malades, il se remémore le mal qu'il a fait en abandonnant une épouse pour une histoire de fesses avec un mannequin. Sans pour autant regretter ce qui a été. Il repense simplement à sa route.


On croit mener un vie singulière mais quand arrive la fin du parcours, elle devient banale. Il reste nos choix et surtout, nous-même face à nos décisions. Sous l'encre de Philip Roth, l'ordinaire devient tantôt froid, tantôt triste mais jamais pathétique.




Philip Roth, écrivain américain est né le 19 mars 1933 à Newark dans le New Jersey. Son oeuvre littéraire est immense. Il a inventé un personnage, son alter-égo, Nathan Zuckerman qui sera un personnage central dans nombre de ses romans. Sa dernière création, "Exit le fantôme" a été encensée par la critique. On en reparlera.

lundi 16 novembre 2009

Vive le quotidien !

Vous vous souvenez du temps pas si lointain où l'on portait des t-shirts serrés avec, comble de l'élégance, la marque apposée sur la poitrine. Ajoutez à cela un jeans taille basse qui descendait à chaque mouvement. Ah ! c'est qu'on rigolait vraiment pour avoir l'air décontractée et décente, à la fin des années 90.


Je bénis ces matières souples, amples, confortables qui nous permettent d'être à l'aise sans pour autant perdre notre féminité. Peut-être que les hommes regrettent cette période où les corps étaient plus offerts. Comme ils ne voient que ce qu'ils veulent, le bourrelet disgracieux était éclipsé par d'autres attributs. Ils avait les yeux rivés sur nos atours mais nous... qu'est-ce qu'on s'embêtait.... Je préfère nettement le subtil au m'as-tu vu...


Je dois dire que j'aime vraiment ce que nous offre la mode. J'ai besoin que le vêtement fasse partie de moi. Si je commence à penser à lui c'est qu'il y a un problème. Enfiler un pull, un jean et n'avoir aucune question à se poser.

Je crois que c'est le critère d'un bon achat, non ?

Pull + jean H & M - Boots Minelli

Demain chez Frieda, une interview d'un artiste au talent reconnu qui sait se faire désirer. Il se dévoile si peu que j'ai hâte de le connaître un peu mieux. Parce que pour, ses créations...à cause d'elle et grâce à lui je suis devenue ... snob du parfum !

samedi 14 novembre 2009

Les aléas

Ces deux semaines ont été intenses. Entremêlés à une vie de famille, un voyage, un décès, des rencontres, des migraines, un vol en montgolfière, des réunions, des mises au point, des je t'aime...

La vie dans toute sa splendeur. Passer du sombre au futile, du rire aux larmes, d'instants solennels aux envies superficielles. Je vous livre pêle-mêle mes petits riens de ces jours derniers....

Paris sans shopping c'est comme Sarkozy intègre : mission impossible.


Caban Uniqlo pour 2D

Uniqlo, bien plus épatant que je me l'imaginais. Bon oui, un temple de la consommation, pas éthique pour un sou : mais qui est encore vierge aujourd'hui ?

Snood Gap

Un snood qui ne peluche pas, doux, un coloris aimé et à - 30% : trouvé lalalère et sans me fouler les poignets à tricoter.


Lundi 8. nov. 2009, Galeries Lafayette, stand Dinh Van. On m'offre le lien de mon Pi, sans raison, par plaisir : comme quoi, des gens sympathiques et gentils il y en a partout. Au moins autant que les emmerdeurs et les jaloux.

Du fond de teint bar minéral, une sacrée découverte 2 ans après tout le monde : je débarque, je sais bien, mais suis épatée par un rien.

Mes quêtes obsessionnelles : une marinière sequinée aux épaules, un manteau officier, du tissu pour le doubler, une rooobe mais une roooobe, je ne vous en dis pas plus : quoi, quoi ? qui parle d'un défi ?

J'ai compris, enfin, que les futilités étaient vitales, littéralement, dans ma vie. Un emballage cadeau nécessaire à mon équilibre. Et que, bien sûr, je ne me résume pas qu'à ça.

Une pensé laissée dans un comm par une de mes lectrices. Cette phrase me parle, me parle...

"La vie ne se compte pas en respirations mais en nombre de fois où tu as eu le souffle coupé"

Allez, on prend le tout avec légèreté et on se revoit très vite.

P.S. La gagnante du sac Jimmy Choo se lit avec les lettres. Quant à moi, pas le courage d'affronter une horde de fashionistas en délire. Je reste cloitrée toute la journée.

mercredi 11 novembre 2009

Un sac Jimmy Choo for H & M à gagner

J-3 et on ose dire que les Suisses sont lents, hein ? Un concours exclusif H & M Suisse chez Sarah babille ! C'est pas beau !

Ce qu'il faut faire... Pas grand chose ! Une question de chance, probablement mais pas que... Je ne vais pas bouder mon plaisir, celui des mots ! Un commentaire, mais, un joli, un doux, un truc, quelque chose qui soit à l'image glam'rock de la collaboration Jimmy Choo / H & M.


Le concours démarre maintenant et se terminera jeudi minuit. Ainsi, le 13, soit un jour avant LA fameuse journée, l'une d'entre vous pourra rester piano sur son canapé et se délecter d' "Un homme" de Philip Roth.... Ceux qui ont lu comprendront l'allusion, bilan de sa vie, quête, qu'est-ce qui est important et tout ça, quoi !

Je vous souhaite bonne chance à tous.

p.s.1 Ceux qui se demandent, et toi, la blogueuse, quelle pièce Jimmy Choo tu as reçue ? Rien, nada. Pas un bracelet, un clou, une babiole. Rien. J'ai payé mon voyage de 6 heures, posté deux billets, répondu aux comms. Et rien ! Comme quoi, si je peux vous faire plaisir...

p.s.2 Promis je reviens demain si tout va bien avec un post. Deux jours à courir à Paris m'a mise sur les genoux....

p.s.3 En passant, si vous avez le temps de cliquer ici et de voter... :-) ce serait super sympa !
Edit du 13.11.2009 - 19 H 10 - La gagnante a été avertie. Désolée je suis complètement débordée. Je reviens dans le week-end. Merci encore et bravo à la gagnante !

dimanche 8 novembre 2009

Dix blogueurs et American Vintage

Si j'ai tout fait juste, vous pourrez, juste là, dans la lucarne, voir des choses....

Ces choses sont :une marque, American vintage, neuf blogueuses, un blogueur et un shooting photos.

Nous sommes dans la boutique AV de Neuilly. Je ressens un doux mélange de frayeur et d'exitation. Une belle expérience, l'occasion de faire de jolies rencontres. Le tout lovée dans de la maille et le fameux coton AV....

Dans quelque temps vous pourrez gagner l'une des dix tenues... Je vous en reparlerai, comptez sur moi !

Si j'ai le temps je vous ferais un coucou, mais je ne vous promets rien !

Si la vidéo ne fonctionnait pas, cliquez, ici et normalement il se passera quelque chose.

Des Becs

Edit du 11.11.2009 - Merci à ceux qui ont suivi, désolée pour ceux qui n'ont pas pu.... Un montage sera fait et il y aura plein de choses pour vous (et pour les hommes aussi...). Un peu de patience. Ce sera le... enfin bientôt ! Promis vous saurez tout ! Merci encore !

vendredi 6 novembre 2009

Les idées préconçues


J'ai des idées toutes faites...

Si tu rêves très fort, tes voeux se réalisent.

Les gens qui s'aiment ont des liens invisibles.

Les perles c'est pas que pour les Bourgeoises.

Le doré n'est plus réservé aux cagoles.

La preuve


Je voulais le fameux collier Céline (mais oui, souvenez-vous celui cousu avec la chemise). Frieda, de ses mains de fée, en a bidouillé un pour moi. Je porte donc le Frid'Céline.

Dimanche, à des kilomètres de distance, j'avais un mauvais pressentiment pour mon amie Viou, et c'était vrai.

Je vous l'avais déjà dit ici, je peux porter du classique sans être chic et bourge.

Une paire de chaussettes en lurex, un détail clinquant mais pas putassier.

Moralité : j'ai toujours raison....

Dimanche je me lève aux aurores (si 4 H oo du mat c'est pas l'aurore, c'est en tout cas l'horreur), direction Paris pour un projet réunissant American Vintage et dix blogueuses. Vous pourrez nous suivre en direct live, chez moi (ici, quoi!). De 9 h 00 à 21 h 00. J'y serai dès 14 H 00.

Si j'ai la trouille, pensez-vous donc !

Blouson en cuir Kookai - Jeans, tisch, chaussettes H & M - Chaussures trois suisses - Boucles d'oreilles en perles vintage cadeau de ma belle-maman

mercredi 4 novembre 2009

Minelli ne plombe pas un défi shopping !


Voici, arrivée l'heure du bilan mensuel du défi shopping. En Belgique et en France tout part à vau-l'eau (pas taper Frieda, pas taper), l'Italie tient le haut du pavé et, bonne élève, toutes les adeptes sont mentionnées. Et en Suisse ? J'ai bien lu dans les comms de mes comparses que vous pensiez que je me vautrerai telle une baleine échouée... La preuve, en images et sans trucage, ni maquillage qu'on me paparazze jusque dans mon intimité.

Il n'y a que cet achat qui a traversé la frontière. Parce que si Minelli ne vient pas à toi, tu te débrouilleras pour l'avoir. La tendance est à la cuissarde, rien à battre, la tige basse et cloutée accompagne mes pas et se marie à une robe en soie, à un jeans, à tout, j'vous dis. Ni noire, ni grise la couleur est subtile, vraiment. Ce n'est pas l'amour qui m'aveugle. Elles sont parfaites.

J'ai fait des pieds et aussi des mains... de la bricole shoppée par Anaïk à la Droguerie. une peccadille dans mon défi. le gilet démontré ici ne plombe pas ce défi.

En route pour Zürich Paradeplatz (référence au Monopoly suisse)... On en a jamais parlé, mais celle qui rentre dans ses frais, elle recevra un pourcentage des achats des autres ?

P.S. Le concours Jimmy Choo pour H & M aura lieu le 11 novembre prochain ici-même.

lundi 2 novembre 2009

Femina et la blogo suisse

J'ingurgite des milliers de signes quotidiens de la presse papier féminine malgré ma passion frénétique pour la blogo. En papivore qui se respecte, je ne puis m'empêcher d'acheter, lire, découper, écorner les pages des magazines à la texture si sensuelle.

Le cocorico n'est plus que français. Je tonne à tout va que je suis Suisse. Je suis d'autant plus attentive à ce qui se passe en Romandie. L'un des magazines que j'affectionne à concocté un dossier sur les blogs romands. J'ai la chance d'avoir été choisie et d'être en belle compagnie. La journaliste Marie-Claude Martin a préparé un papier très bien construit, tendre, complet sur le monde éclectique de la blogosphère.

J'fais genre celle qui est habituée... tu penses ! C'est une première et la trouille bien tapie jusqu'à hier.

Je vous mets en lien le site du Fémina.ch, ici, (pages 20 à 25) vous pourrez le feuilleter en ligne.

Un grand merci à l'équipe du Fémina et aux nombreux messages que vous m'avez envoyés.


Je profite de l'occasion pour répondre à l'awesome award (et oui.. 4 fois) de Laura S, Fanette, Laure, The Biche. Il fallait remercier celui qui me l'a envoyé, citer 7 choses que vous ne savez pas sur moi et le filer à 7 autres....

1. Je n'aime pas les tags !!! J'y réponds parce que j'apprécie les blogueuses !

2. Depuis 6 jours, je dors, je mange, je marche avec un nouvel amour !!! Ah Ah !! Indice : M...ll.

3. Je lis un à deux romans par semaine. Uniquement le soir au lit jusqu'à des heures indues.

4. Je nage 2x par semaine.

5. Je suis fascinée par la mode, vraiment. Certains détails infimes et une allure peuvent m'obséder.

6. Je ne supporte pas les marques aux logos ostentatoires.

7. Antagoniste, gémeaux, je n'aime ni le figé ni le négligé. L'entre-deux me séduit bien plus.

Vous me permettez de ne pas filer la patate chaude à 7 autres blogueurs... Mais ceux qui le sentent peuvent se servir.