Même pas en rêve que j'envisage une seconde de me prendre en photo. Je me sens aussi sublime qu'un morse dépité au bord d'un bassin après un gavage intempestif de poissons (la preuve sur la dernière image...). Je vous épargne donc ce spectacle en vous gratifiant de clichés bien plus engageants et inspirants. Cette intro pour vous amener dans le vif du sujet, thème galvaudé en ces derniers jours de l'année. Les fameuses bonnes révolutions...
Je les honnis ces décisions moulées mais... invariablement, tous les ans, entre le 26 décembre et le 1er janvier, lestée de victuailles graisseuses, chères en ces période de bombances, je jure, je promets, je m'époumone intérieurement que "oui, dès le 2 je vais manger un chouia, juste un poil de plus que Gwyneth, que je pratiquerais presque autant d'exercices que la Madonne .. le tout dans la bonne humeur, sans obsession et un zeste de détachement. Appelez-moi, Sainte." La suite du programme est immanquablement identique...
Je les honnis ces décisions moulées mais... invariablement, tous les ans, entre le 26 décembre et le 1er janvier, lestée de victuailles graisseuses, chères en ces période de bombances, je jure, je promets, je m'époumone intérieurement que "oui, dès le 2 je vais manger un chouia, juste un poil de plus que Gwyneth, que je pratiquerais presque autant d'exercices que la Madonne .. le tout dans la bonne humeur, sans obsession et un zeste de détachement. Appelez-moi, Sainte." La suite du programme est immanquablement identique...