Autant jouer franc jeu, ces derniers temps, j'ai traversé une mini-tempête. Mes billets sont pensés et écrits "par-dessus la jambe" comme on dit chez moi, je ne lis presque aucun blog. Bref, un gros "ras-les-nouilles" de la blogo. J'avais l'expérience d'une (courte) rupture, je connaissais et les symptômes et les remèdes : attendre que ça passe. J'ai réfléchi au sens de tenir un blog. Surtout aujourd'hui.
Non, je ne vais pas radoter et parler d'avant. Avant, où un foulard suédois (je me souviens très très très précisément de ce post de Garance) nous rendaient fébriles et...contentes. Avant où les photos se rapprochaient de celles d'Instagram (je vous ai dit que cette appli est ma préférée de toutes ?), où les tenues quotidiennes n'avoisinaient pas les milliers d'euros (et tant mieux pour celles qui peuvent, hein...), avant où le partage était innocent. Ça a muté et c'est naturel. Le cycle de la vie est évolutif. heureusement (entre nous, je crois à mort aux sites, aux supports web etc... je milite même pour cela avec mes chefs. C'est une autre histoire).
Je me suis repliée un peu, j'ai fait le dos rond et j'en suis arrivée à la conclusion que...